Christophe Briquet Ostéopathe énergéticien

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Citations d'Ostéopathes et commentaires

Il y a beaucoup à découvrir dans la science de l’Ostéopathie, par le travail en coopération avec les forces internes qui déclenchent le processus de guérison. Il est préférable de travailler avec ces forces internes plutôt que d’appliquer une force aveugle venant de l’extérieur.

W.G. Sutherland ,D.O.

Beaucoup dans la profession Ostéopathique ( sic ) sont devenus conscients de l’importance de ce principe fondamental préconisé en Ostéopathie crânienne : permettre à la fonction physiologique interne de manifester son infaillible puissance, plutôt que d’appliquer une force aveugle venant de l’extérieur.

W.G. Sutherland ,D.O.

Ces deux citations très voisines du Dr Sutherland nous éclaire d’une manière définitive sur deux visions « irréconciliables » de l’Ostéopathie.

En effet, même un praticien à la technique « affutée » exercera toujours en « manipulant », « en faisant craquer », une « force aveugle venant de l’extérieur » dont il sera toujours incapable de prévoir avec certitude comment le corps du patient la supportera.

A l’inverse , travailler avec les forces internes d’auto-guérison, comme en Ostéopathie énergétique et tissulaire, sera toujours un gage de sécurité , de précision , et d’efficacité.

Un Ostéopathe intelligent apprend vite qu’une main légère , et un mouvement doux permettent d’obtenir le résultat désiré.

A.T. Still, D.O.

« Une main légère et un mouvement doux », plus un peu de temps pour permettre la réponse du corps sous forme de « résilience tissulaire » : quelle belle définition du « modus operandi » de notre travail sur les motilités, en Ostéopathie tissulaire.

Pour moi, l’Ostéopathie est une science exceptionnellement sacrée. Elle est sacrée parce qu’il y a un pouvoir de guérison à travers toute la Nature.

Dr Robert E. Truhlar, D.O. ( « Doctor Still in the living »)

L’Ostéopathie est une philosophie, un art et une science médicale, fondant son système thérapeutique sur les sciences physique , chimique et biologique, et appuyant son traitement de toutes les affections anormales du corps, sur les lois naturelles et les principes vitaux gouvernant la Vie.

Dr Carter Harrison Downing, M.D. , D.O.

Voici une magnifique définition de l’Ostéopathie, en tant que philosophie, art de soigner, et science médicale. Le Dr Downing nous enseigne que notre traitement Ostéopathique doit « prendre appui », au propre comme au figuré, sur les forces internes vitales, qui gouvernent la Vie et la Santé. Il s’agit bien là du Fulcrum symbolique (notion de point d’appui en Ostéopathie) de notre Praxis « d’Ostéopathe énergéticien »

Après avoir atteint le point d’immobilité (dans les tissus), le corps du patient continue le travail. Vous pouvez observer comment il procède, mais votre traitement est terminé.

Dr W. G. Sutherland, D.O.

Voilà de quoi encourager tout praticien Ostéopathe à l’humilité… Arrivé à ce point d’immobilité tissulaire, notre soin est terminé. Le véritable traitement peut alors commencer : celui opéré par les forces intrinsèques du corps qui continuent le travail de manière autonome et infaillible.

Tous les tissus vivants sont en mouvement rythmique constant, le cerveau compris. Le cerveau n’est pas une masse de tissu nerveux silencieuse et sans vie. Ses circonvolutions s’enroulent et se déroulent - et ses ventricules se dilatent et se contractent de manière rythmique.

Dr W.G. Sutherland, D.O.

Notre travail consiste dans ces conditions, à « sentir » et à « détecter » les anomalies au sein de cette activité rythmique constante de tous les tissus, puis « d’accompagner » les forces internes d’auto-guérison du corps, jusqu’à atteindre le point d’immobilité tissulaire, signe qu’un nouvel équilibre aura pu être atteint dans la physiologie tissulaire du patient.

L’interprétation des lois qui gouvernent le mécanisme anatomo-physiologique peut se manifester à travers un « art chirurgical non incisif », bien plus grand que ne peuvent l’être les manipulations structurelles (« cracking »). A travers des doigts qui sentent, qui voient et qui savent, nous obtenons différentes lectures, et une approche diagnostique globale peut être faite par l’interprétation des données contenues au sein du liquide céphalo-rachidien.
Cela devient alors « l’oeil thérapeutique » le plus subtil et le plus efficace.

Henri O. Louwette, D.O.

Reprenant à son compte des concepts et des formules du Dr Sutherland, H. Louwette nous renseigne sur la précision « quasi-chirurgicale » de cette approche, puisque nous devons bien comprendre que toutes les informations se trouvent à l’intérieur des Tissus , « nichées » au sein du Fascia, dont la dimension « liquidienne » (voir « à propos du Fascia ») n’est plus à démontrer. Comprendre et sentir cela dans nos mains, ne peut que nous conduire à abandonner définitivement les techniques de manipulation structurelles de type « cracking ».

Notre travail est basé sur le concept de la continuité du Fascia et de sa légère mobilité rythmique.

Dr John E. Upledger, D.O.

Je vous invite à vous reporter à la rubrique « à propos du Fascia » afin de saisir toute l’étendue diagnostique et thérapeutique contenue au sein de ce tissu merveilleux ; lieu d’élection de notre travail d’Ostéopathe énergéticien.

L’Ostéopathe ne reçoit pas de squelette en consultation. C’est pourquoi notre travail vise à embrasser la complexité des liens entre l’Esprit, l’Ame et le Corps dans leur environnement, afin que nous, Ostéopathes, puissions parfaire cette belle discipline.

Bernard Daraillans, D.O.

Ne jamais nous laisser aller, par paresse ou facilité, à réduire notre patient « vivant » à une simple « anatomie squelettique », mais l’envisager dans son « entièreté », c’est à dire, dans toutes ses dimensions.

Ce qui cause l’immobilisation partielle d’une articulation ce sont , nous l’avons vu , les tensions « discordantes »des tissus environnants . Au fur et à mesure que ces tensions diminueront et au moment où les tissus retrouveront leur état d’équilibre , la vertèbre « en lésion » n’aura plus qu’une possibilité, toujours la même : se rééquilibrer « d’elle même » par rapport au nouveau schéma fonctionnel qui lui est offert ; autrement dit , reprendre un mouvement amélioré dans la direction exacte où cela est possible et désirable , et non pas en suivant une direction et en obéissant à une intensité « imposées de l’extérieur » . Le praticien n’aura pas eu à effectuer une « correction »; les forces biodynamiques rééquilibrées s’en seront chargées d’elles-même . Elles ne peuvent pas faire autrement : il n’y a pas d’autre possibilité physiologique . ( ….. )

Jacques Andreva Duval, D.O.

Merci de vous reporter à la rubrique « pour en finir avec le mythe de la vertèbre déplacée ».

Beaucoup de mes patients expriment le fait que dans les jours qui suivent la séance, ils ressentent des craquements spontanés lors de mouvements anodins ; ce sont autant de libérations spontanées qui finissent par améliorer les mobilités articulaires, puisque les nouvelles mobilités tissulaires les ont rendues possibles. (voir aussi « témoignages de patients »)

Dans certains cas , cette libération spontanée intervient même pendant la séance, et le patient comme moi, nous pouvons sentir les facettes articulaires se libérer d’elles-même par un minuscule « plop » perceptible de manière audible, mais aussi sous la main, alors même que nous n’exerçons pas la moindre force sur les tissus.

L’Ostéopathie est la Loi de l’Esprit , de la Matière et du mouvement.
Je trouve en l’Homme un Univers en miniature. Je trouve la matière, le mouvement et l’esprit

Dr A.T. Still, D.O.

Comme dit précédemment, « la matière sans l’Esprit ni le Mouvement », n’est plus un patient vivant, entier, complexe, mais plutôt un sujet sans vie de salle de dissection, ou encore un « pantin » manipulable à souhait.

Comprenons enfin que tant que la Vie est présente , manifestée par le Mouvement, c’est que la Matière ( le corps ), est totalement unie à l’Esprit ou la Conscience.

Autrement dit, la Conscience habite la moindre particule de notre corps.

C’est avec cette pensée que nous , praticiens Ostéopathes, devons approcher notre patient dans notre travail. Immanquablement, cette connaissance nous amènera à exercer notre art avec encore plus de respect , de douceur et de déférence envers ce « mystère vivant » qu’est notre patient, conformément à l’enseignement du « Vieux Docteur » ( A.T. Still ).

La profession Ostéopathe que nous portons depuis 40 ans dans sa croissance vers une Médecine totale de l’humain, par sa Bio-dynamique universelle, doit rester notre priorité professionnelle.
Il nous est demandé de poursuivre l’œuvre du « vieux Docteur » ( A.T. Still ), la développer, la dynamiser, et la moderniser

François Laurent, D.O.

Ajoutons avec François Laurent, la « poursuivre », la « dynamiser », la « moderniser » ( notamment dans la façon dont on en parle), mais sans toutefois la  « trahir », c’est à dire sans trahir sa pensée ni sa philosophie . Apportons ainsi la lumière de la Science actuelle pour valider et confirmer les « découvertes et intuitions » du Vieux Docteur (voir aussi « à propos du fascia).

Je ne peux me résoudre à voir toutes les écoles ( d’Ostéopathie ) s’enfermer dans les décrets imposant une Ostéopathie mécaniste, qui, de fait, oublie tout une partie de l’Etre Humain

François Laurent. D.O.

Certes les décrets d’application régissant notre profession, ne comprennent ni l’Etre Humain, ni l’Ostéopathie pour ce qu’elle est authentiquement. Mais cela n’empêche aucun d’entre nous de nous « abreuver à la Source » et à poursuivre la Voie clairement tracée par Still et Sutherland, comme bien d’autres l’ont fait avec talent avant nous… (« en tirant la queue de l’écureuil »).

L’Ostéopathie ne peut être comprise par l’intellectualisation, sa compréhension nécessite l’expérience.

Dr Hasbrouck, D.O.

Quoiqu’on puisse dire ou écrire au sujet de l’Ostéopathie, ces « mots » n’atteindront jamais la cible.

L’Ostéopathie, en plus d’être une science médicale, est aussi un « art » de soigner qu’on ne peut réellement saisir qu’à travers l’expérience vivante du soin Ostéopathique, quand les « mains bienveillantes et attentives » de L’Ostéopathe énergéticien se mettent au service des forces internes de l’organisme de notre patient.

L’Ostéopathie est une médecine aux possibilités incroyables. Nous souhaitons humblement avoir contribué à ouvrir un peu plus le champ des possibles.

Alain Auberville, D.O.

Un magnifique travail sur l’embryocinèse en tant que support théorique mais surtout pratique, à notre travail d’écoute des motilités tissulaires.

On n’est pas du jour au lendemain Ostéopathe. On accède progressivement à cet état d’Etre, en fonction de notre maturation personnelle, de nos recherches, de nos découvertes, de nos expérimentations

Pierre tricot, D.O.

« Avoir » notre diplôme d’Ostéopathie, ne nous permet pas encore « d’être » Ostéopathe ; il nous permet seulement d’avoir le droit d’essayer de le devenir…

M’est-il permis de suggérer ici, qu’il est même possible d’envisager notre chère Ostéopathie en tant

que Chemin authentiquement initiatique . Chemin fait de « hauts et de bas », mais aussi Chemin de « Connaissance de l’Etre Humain ».

Diplômés, nous sommes encore des apprentis sur la Voie de l’Ostéopathie . Après un long compagnonnage, et de multiples pérégrinations, accèderons-nous peut-être à la maîtrise de cet Art et de cette Voie, qu’est l’Ostéopathie.

C’est pourquoi, selon moi, l’Ostéopathie Entière et « ternaire » (Philosophie, Art et science), est tout simplement une Voie.

Nous ne vous dirons jamais assez merci à vous, patients, qui grâce à la confiance que vous nous accordez, nous permettez d’apprendre encore et encore , à la fois « de vous même », mais aussi « sur nous même ». C’est vous, en définitive, qui nous faites Ostéopathes.

Puissions-nous soigner nos patients comme nous aimerions être soigné nous-même.

Christophe Briquet, D.O.

Notre patient n’est-il pas en effet un « Alter Ego », c’est-à-dire, un autre « nous-même », avec lequel nous partageons toute l’étendue de notre condition humaine ?

Mais j’invite également nos patients à renverser la proposition et à se demander dans leur for intérieur : « Mon praticien me soigne-t-il comme il (elle) aimerait être soigné(e) » ?

Dans l’affirmative, et seulement dans ce cas, vous aurez l’assurance de « recevoir » un travail « sincère ». Christophe Briquet , D.O. .

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